Quel est l’impact environnemental d’un e-mail ? Les Infos Pagespro118.com

Logo Pagespro118Chaque heure, plus de 10 milliards d’e-mails sont envoyés dans le monde. Un chiffre en constante augmentation, tout comme l’énergie consommée et son impact environnemental. Retour sur les implications bien réelles de cet objet numérique.

 

LumierePour la plupart des utilisateurs, appuyer sur le bouton «envoi» d’un email est une action complètement virtuelle. Pourtant, des data center aux ordinateurs ou smartphones utilisés, l’envoi d’un e-mail consomme une part non négligeable de l’énergie produite sur Terre. Avec des conséquences bien réelles sur les émissions de gaz à effet de serre ou l’extraction des matières premières. Surtout si, comme le prédit le Radicati Group, nous passons de 4,4 milliards de comptes e-mail en 2015 à près de 5,6 milliards en 2019.

Le trajet d’un e-mail de l’envoi à la réception : des kilomètres de câbles, des milliers de serveurs…

Logo Experience Pagespro118Lorsque vous envoyez un e-mail à votre correspondant, ce message suit un trajet et parcourt des infrastructures très concrètes, sans parler du device que vous utilisez, qui consomment de l’énergie électrique. L’e-mail est d’abord envoyé au data center de votre fournisseur d’accès, où il est traité et stocké grâce à de serveurs informatiques. Il est ensuite renvoyé par votre fournisseur d’accès au fournisseur d’accès de votre correspondant, qui le stocke et le traite également avant de l’expédier à votre correspondant. Le tout en passant par des kilomètres de câbles, 15000 en moyenne.

Pour traiter toutes ces informations et stocker les e-mails, les data center ont besoin d’être alimentés en énergie, à la fois pour alimenter les serveurs et pour les refroidir, sans oublier les systèmes électriques redondant pour assurer un fonctionnement continu en cas de panne de serveurs.

 

… et des impacts environnementaux importants

Cette consommation d’énergie a un impact environnemental non négligeable. Dans un rapport de 2014, l’Ademe estimait que l’envoi d’un e-mail de 1 Mo produit l’équivalent de 15 grammes de CO2. L’impact climatique varie avec le poids des pièces jointes et le nombre de destinataires. Par exemple, l’envoi de 33 e-mails d’1 Mo à 2 destinataires par jour et par personne génère annuellement des émissions équivalentes à 180 kg de CO2, soit l’équivalent de plus de… 1 000 km parcourus en voiture. Au niveau d’une entreprise de 100 collaborateurs, l’envoi d’e-mails génèrerait ainsi 13,6 tonnes de CO2 par an.

Cadenas Pagespro118Et cet impact ne se limite pas aux gaz à effet de serre : l’envoi d’un e-mail avec une pièce jointe de 1Mo consomme 7,5 g équivalent de fer, soit le poids d’une pièce de 1€. Les équipements électroniques (des devices personnels aux serveurs des data centers) nécessitent en effet d’importantes ressources pour leur production, notamment des métaux rares.

Sans compter les SPAMS ou Courriers indésirables qui utiliseraient annuellement autant d’énergie que l’équivalent de la consommation de 2,4 millions de foyers américains, et autant d’émissions de gaz à effet de serre que 3,1 millions de voitures consommant 7,5 milliards de litres d’essence.

Quelques bonnes pratiques

Logo Actualites Pagespro118Alors que faire pour limiter l’impact écologique de l’envoi d’e-mails ? Le rapport de l’Ademe évoque plusieurs pistes :

  • Réduire de 10 % les envois d’e-mails incluant systématiquement son responsable et un de ses collègues. Ce qui permettrait d’économiser environ 1 tonne équivalent CO2 par an pour une entreprise de 100 personnes.
  • Utiliser un ordinateur portable, qui consomme 50 % à 80 % moins d’énergie qu’un ordinateur fixe.
  • Installer un anti-spam.
  • Réduire la taille des pièces jointes ou trouver des solutions alternatives (lien hypertexte, site de transfert, cloud).

Autant de gestes qui demandent peu de clics, mais peuvent avoir un effet bénéfique sur l’environnement

Le crowd marketing se met au service des marques. Client Pagespro118 ?

Ils s’appellent Mobeye, Click&Walk, Roamler ou encore Tcheck’it, et ils ont révolutionné le relevé de linéaires. Comment? En faisant travailler les consommateurs! On parle alors de crowd marketing, un phénomène en expansion
Prochainement sur nos pages

Nous attachons une importance particulière à vos observations ainsi qu’à votre expérience en la matière.

 

N’hésitez pas à partager votre expérience, on vous attend ….

 

Le coaching ou la formation. Que choisir et quelles différences. Pagespro118 vous conseille

Le coaching ou la formation. Que choisir et quelles différences. Pagespro118 se régale et vous conseille

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Le mot « coaching » est beaucoup trop utilisé et galvaudé depuis quelques années, souvent de manière imprécise ou dans un sens large et très américain, d’entraineur. Quoi qu’il en soit, c’est une industrie en croissance, à en juger par le nombre de cadres supérieurs qui utilisent un Coach, ou le deviennent.

Affaires Pagespro118
Peut-être la principale différence entre le coaching et la formation est que dans beaucoup de formations, le point d’entrée provient du formateur, qui essaye de transférer des connaissances ou des compétences à un stagiaire, où le coach, son sujet sera de guider ces « clients » à de nouvelles idées sur eux-mêmes et de les amener à modifier leurs attitudes et comportements qui peuvent bloquer leur progression.
En Sales coaching, le coaching se concentre spécifiquement sur le domaine du développement de la performance des vendeurs – généralement, mais pas toujours, à travers les opportunités de vente – et peut être plus précisément décrite comme un mélange entre le coaching et la formation hautement adaptée.
Tout le monde est un individu, mais les cadres supérieurs de la vente sont souvent plus individuels que la plupart !

Coaching Pagespro118
Ils peuvent avoir des personnalités puissamment distinctes qui nécessitent un traitement délicat. Leurs besoins peuvent être très spécialisés. Ils ont tendance à être motivés par le développement personnel, et c’est probablement cette soif d’apprendre qui les motive en premier lieu.
Les meilleurs sont passionnés par le développement de leurs équipes et le moyen d’améliorer leurs ventes tout en trouvant un équilibre de vie. Ceci est personnel et professionnel. Voilà pourquoi ils doivent être coaché et pourquoi ils doivent avoir une approche formateur coach avec leurs équipes.
Souvent, notre rôle de coach est d’amadouer les cadres de ventes à penser plus clairement sur eux-mêmes, leur(s) équipe(s) et leur(s) message(s). Pour les sortir d’un océan de complexité dans laquelle ils vivent et qu’ils considèrent ce qu’ils veulent vraiment faire passer – de le structurer – et de considérer le sous-texte émotionnel et de prendre les besoins de leurs commerciaux en compte plus pleinement, d’avoir une approche formateur coach lors de leurs points de rencontre d’encadrement et de revues d’opportunités.

Magasins Pagespro118
Les professionnels de la vente savent que quelqu’un se soucie d’eux quand il se concentre sur eux. Un développement commence par la création d’un plan de développement individuel pour chaque manager de ventes. Ce plan a des actions détaillées avec des échéances à améliorer, une auto-évaluation de leurs actions de coaching avec un feedback du coach lors de leurs sessions. Tel est le fondement pour un développement cohérent et la mise en place de leurs propres actions de formateur coach.
Un autre fondement est la gestion de la prise de décision et d’éclairer sa pensée pour éviter les mauvaises décisions. De les accompagner à répondre à la question qu’ils se poseront lors d’une revue d’opportunité, par exemple, d’aller ou ne pas aller sur une affaire : Aurons-nous pris la « bonne » décision ?
La bonne décision, c’est d’abord celle qui nous ressemble et qui tient compte des diverses dimensions de nos vies (L’expérience des situations en vente). Un coup de cœur musclé par la réflexion (et les outils de vente). C’est celle, aussi, qu’on prend avec la conviction intime qu’on fait un choix qui nous permet de progresser et qui nous donne la force d’aller vers toutes les autres décisions qui nous attendent, ce qui est au cœur de notre approche de la posture de formateur coach.
Une de leurs premières taches sera d’identifier pour chaque membre de leur équipe, une liste des compétences de vente nécessaires lors de chaque étape du processus de vente, et d’évaluer leurs capacités à les mettre en œuvre en utilisant les technologies pour les y aider.
Cette offre leurs permettra de maitriser cette nouvelle posture par un accompagnement avec une évaluation de leurs compétences et capacités, de la formation et du coaching, aider en cela par notre plateforme technologique.

L’édition papier en déclin. Reformulez rapidement vos modes de communication. Le digital prendrait il le pas ? Les conseils Pagespro118.com

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Partout dans le monde, l’industrie de l’édition est en train de subir des transformations majeures alors que les livres, magazines et journaux imprimés se disputent l’attention du lecteur avec les livres électroniques, les publications en ligne et les réseaux sociaux. Il ne fait pourtant aucun doute que l’impression reste pertinente dans le domaine de l’édition. En effet, 96% des lecteurs de magazines imprimés et numériques disent vouloir rester fidèles aux versions imprimés au cours des 12 prochains mois, 69% des lecteurs sont plus détendus et réceptifs lorsqu’ils lisent un journal papier et 57% pensent que l’apprentissage par les livres est le meilleur moyen d’apprendre. Cependant, les éditeurs doivent fournir plus d’efforts que jamais, pour répondre à l’évolution des préférences des consommateurs en élaborant de nouveaux formats et modèles mais aussi faire prospérer leur entreprise.

Livres interdits Pagespro118
Alors que chaque secteur de l’édition fait face à un ensemble spécifique de défis, quatre modèles d’entreprise reposant sur l’impression numérique aident les éditeurs de chaque secteur à s’adapter à l’évolution du marché.
Livre Pages PROSTirages faibles

Avec un nombre sans cesse croissant de nouveaux ouvrages publiés chaque année et des volumes moyens de tirage toujours plus faibles, la demande de petits volumes d’édition est en augmentation. En optimisant les processus de production, l’impression numérique permet de réaliser de faibles tirages plus rapidement et à moindre frais, tout en garantissant la pérennité de la production d’impression. Une fois établie, la production numérique à faible tirage peut également ouvrir la voie aux concepts d’impression décentralisée, réduisant ainsi les délais et les coûts de livraison non seulement pour les livres, mais aussi pour l’impression des magazines ou des journaux dans les centres urbains ou les régions excentrées.
Digital Pagespro118 PagesproGestion du cycle de vie d’impression
La production numérique à faible tirage mène à la gestion du cycle de vie d’impression qui consiste essentiellement à optimiser la chaîne de distribution de l’éditeur. Dans ce modèle, la demande de ventes réelle détermine le nombre d’exemplaires imprimés et réduit ainsi les coûts de stockage et le risque de surstock.
Impression à la demande
En plus des économies de stockage et de la diminution des risques, une autre raison de l’augmentation de la popularité de l’impression à la demande chez les éditeurs vient de son potentiel de connexion à l’e-commerce. Ce modèle, qui consiste à vendre d’abord pour imprimer ensuite, est tributaire d’un flux de travail optimisé pour le rendre viable et abordable afin d’imprimer des exemplaires uniques de revues et de livres au moment de leur commande, mettant ainsi la stratégie zéro stock à portée des éditeurs.
Robot Pagespro118Édition intelligente
Le contenu personnalisé ou contenu dynamique est au cœur de l’édition intelligente : il permet des applications novatrices telles que la publicité ciblée dans les journaux ou les magazines ainsi que l’édition de livres personnalisés. Ce modèle consiste à sélectionner un contenu variable selon différents groupes d’utilisateurs, de sorte que le contenu peut être extrait de diverses sources avant d’être intégré dans une parution personnalisée.
Pour les prestataires de services d’impression, ce concept offre de nouvelles perspectives en termes de revenus et de croissance, bien au-delà des services d’impression. Quant aux éditeurs, cela leur permet de tirer le meilleur parti des actifs existants, en les associant aux besoins individuels par la création d’un nouveau service de personnalisation numérique.
Dans le marché du livre pédagogique par exemple, certains clients Canon de Turquie, d’Autriche et de Suisse offrent aux enseignants, professeurs privés et formateurs la possibilité de personnaliser les manuels scolaires ou les cahiers d’exercices de leurs élèves avec du contenu variable extrait de sources existantes fournies par un éditeur. Dans un cas, le contenu du cahier d’exercices est déterminé selon les forces et les faiblesses de chaque élève identifiées à partir de leurs résultats d’examen. Dans un autre exemple, l’éditeur et le prestataire de services d’impression ont développé un flux de travail automatisé et une boutique en ligne pour simplifier la personnalisation et la gestion des commandes tout en rationalisant la production et l’expédition.

Mail GSM Pagespro118Le concept peut être facilement appliqué à d’autres segments d’édition et d’impression : voyage, cours de cuisine et livres d’affaires, pour n’en citer que quelques-uns. Imaginez, par exemple, un guide touristique qui réunit les meilleures informations, mises à jour par des éditeurs de guides touristiques, et les dernières contributions des consommateurs sur les réseaux sociaux, avec des guides, des cartes et des bons de réduction. De la même manière, ce modèle permet d’intégrer des publicités micro-ciblées dans les journaux et magazines selon la situation géographique, les données démographiques et les préférences du client.

Bientôt obligatoire – La facture électronique. Info Pagespro118.com

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Facture électronique : de quoi parle-t-on exactement ?

 

Plus rapide et moins onéreuse que le traitement papier, la facturation digitale est en passe de se généraliser sous l’impulsion notamment d’une législation incitative. Pour les entreprises, il s’agit dès à présent de mettre en place les bons réflexes en matière de procédés ayant une valeur auprès de l’administration fiscale.

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Nos explications

La dématérialisation des factures gagne du terrain, portée par une législation fortement incitative. Ainsi, d’ici à 2020, selon un calendrier progressif en fonction de la taille de l’entreprise, la facturation électronique deviendra obligatoire pour tous les émetteurs de factures à destination de l’Etat ; dans le même temps, plus aucune entreprise ne sera en droit de refuser de recevoir une facture électronique. Si ces évolutions vont permettre aux entreprises de réaliser à terme des gains de coûts et de productivité importants, encore faut-il qu’elles fassent le nécessaire pour se mettre aux normes.

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Les normes fiscales : ce qu’il faut savoir
A l’heure actuelle, plusieurs solutions s’offrent aux entreprises qui souhaitent opter pour la facturation électronique. Une condition néanmoins : les documents émis doivent être conformes aux normes de l’administration fiscale et doivent comporter les mentions de montant de TVA, numéro de commande ainsi que le nom du client.
La solution la plus plébiscitée, notamment au sein des petites et moyennes entreprises, est celle de l’édition de factures au format PDF ou JPEG, avec signature électronique par un certificat électronique qualifié. Ce certificat – agrée par l’Etat – est délivré par un organisme tiers indépendant à l’attention d’une personne physique agissant pour le compte de l’entreprise. Cet outil offre une sécurité maximale en authentifiant l’identité de la personne signataire et en garantissant l’intégrité des documents échangés. Autre moyen de sécuriser les factures numérisées, la piste d’audit fiable est largement utilisée par les entreprises. Elle consiste à mettre en place des contrôles permanents à chaque étape du traitement de la facture.

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Les plus grandes structures optent pour des solutions normalisées par le biais d’un système EDI (échange de données informatisées) qui offre la possibilité d’échanger numériquement des facturations en automatisant les informations comptables sous des formats spécifiques. Dans ce cas précis, l’échange de documents se fait directement entre ordinateurs dans un format électronique standard et permet de garantir l’identité entre le message reçu et le message envoyé. Clients et fournisseurs peuvent alors échanger des factures entièrement numérisées qui ont valeur de preuve au regard de l’administration fiscale.

L’archivage, un impératif
A noter enfin, toute facture, quelle que soit sa forme, doit être archivée et conservée, tant du côté client que du côté fournisseur. Ainsi, de la même façon que pour les factures au format papier, les factures numériques doivent être stockées par les deux parties. Un système d’archivage adéquat peut permettre de les retrouver facilement en cas de demande de la part de l’administration fiscale.

Article écrit par la Tribune